A peine aperçu, sitôt disparu...
Et je me souviens de cette chanson :
Petit écureuil, toi qui fais le fou.
Je le vois ton oeil quand tu viens chez nous.
Je vois ton panache et tes yeux fripons.
Tu fais cache-cache autour du vieux tronc.
...
Je vois les noisettes que tu viens manger,
Tu laisses les miettes de ton déjeuner.
Texte de Gaud C. et musique de Fau R.
L'écureuil fait partie, désormais, de notre quotidien. Avec sa queue en panache, son incroyable agilité, il attire la sympathie, bien qu'il chaparde noix et noisettes. Il les stocke pour l'hiver, ou bien les enfouit jusqu'à 30 centimètres de profondeur. Mais, il ne parvient pas toujours, malgré sa bonne mémoire, à retrouver toutes ses cachettes. Ah, le gredin ! A chaque printemps, nous devons surveiller chaque m² de notre terrain si nous ne voulons pas être envahis de noyers, noisetiers et autres chênes. Même les jardinières se transforment en mini bosquets.
Pour pouvoir mieux les observer, j'ai acheté une mangeoire en bois. Elle s'ouvre facilement, pour recharger en nourriture. Il soulève lui-même le volet et plonge, tête la première, pour se servir.
Combien sont-ils ? Impossible de le savoir avec exactitude.
Nous les voyons, quelquefois, par groupe de 3 ou 4, sauter de branche en branche et jouer à cache-cache autour des troncs. Sans nous laisser le temps de « dégainer » l'appareil photo.
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