Pour fabriquer un pouf très pratique et bien utile, la caisse en polystyrène est une solution petit budget, et écolo ! C'est une bonne idée récup', quel que soit l'endroit où elle va atterrir. Elle est légère, et donc facile à transporter. Elle entame une nouvelle vie, tout en étant très déco et stylée, devient chevet, repose-pieds, table, siège d'appoint, avec rangements intégrés. Alors, pourquoi se priver ?
En mode à la va-vite, j'ai confectionné un pouf pour le nouvel appartement de Mathilde.
Des bouchons de liège obstruent les trous du couvercle de la caisse, pour aplanir le tout. J'ai choisi un tissu sans raccord, avec une bonne tenue.
En 2013, j'avais déjà confectionné deux poufs miniatures pour le mini studio de Mathilde à Montrouge. A retrouver ici : Des poufs vachement sympas. Autre appartement, autre déco.
Les étapes de confection
1. Découper un grand rectangle qui couvre deux cotés et le dessus de la caisse. Prévoir des marges de couture.
2. Au centre, et de chaque côté de ce rectangle, coudre les deux autres côtés.
3. Fermer et piquer les quatre coins, en prenant soin de faire correspondre les lignes de couture.
4. Terminer en réalisant le fond du pouf avec une quatrième pièce de tissu et du fil solide.
Avec ses poches découpées dans un vieux jean, ce chevet accueille téléphone portable, écouteurs, paire de lunettes. Sur le plateau, Mathilde peut poser bouquin, boisson, lampe.
Sur un des grands côtés, j'ai cousu la partie avant d'un ancien jean de Lenny, avec ceinture, patte de boutonnage, zip et poches plaquées. Rien n'est fermé de façon définitive, les poches sont... des poches, le zip fonctionne, le pantalon s'ouvre. Pour ranger magazine ou liseuse électronique.
Les surpiqûres sont cousues avec du fil orange.
J'ai conservé l'arrière du pantalon, mais j'ai manqué de temps. Ce sera pour plus tard...
Voilà Mathilde ! Tu peux t'installer confortablement dans ton canapé, poser tes pieds sur ton pouf et profiter d'un moment de détente (lecture, cela va de soi !) bien mérité.
Pour quelques mois, Mathilde est partie vivre sur une île de la côte Vendéenne. Complètement insularisée, l'île d'Yeu (insula Oya) lui offre sa fameuse côte sauvage, ses falaises dentelées. Cette petite île, 10 km de long pour 4 km de large, est propice à la marche ou à la balade à vélo.
Surgie des flots, elle présente deux aspects totalement différents : la côte sauvage occupe la façade maritime opposée au continent. Entièrement rocheuse, découpée de falaises abruptes, elle est ponctuée de criques.
L'autre façade, tournée vers le continent, offre un paysage de dunes, de plages, de forêts de pins et son port d'entrée, Port-Joinville. L'île est si petite et si belle, que quel que soit le chemin pris, les lumières sont merveilleuses, la nature est sauvegardée.
Éloignée de 17 kilomètres de la côte, on doit prendre vedette ou navire pour s'y rendre. Un à six passages par jour, selon la saison et les marées.
Savez-vous comment on nomme les habitants de l'île ? Les Ogiens. En patois, ila ou islais.
Sur l'île d'Yeu, c'est encore m'Yeu !! Pour jeter l'ancre et découvrir l'île, c'est ici : www.ile-yeu.fr
Bonne semaine, à bientôt
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